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Une ouverture d'esprit pour tous. Pourquoi pas ?

2 février 2013

La seule punition pour un individu passe par la prison ?

Au jour d'aujourd'hui en france, il y a plus de 65 000 détenus dans les prisons françaises.

Les logiques économiques font que l'état des prisons se déteriore et qu'il y a de moins en moins de personnel pénitentier, avec de plus en plus de prisonniers par cellule et surtout par prison.

L'exemple de la prison des baumettes ( Voici l'article :  http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20121206.OBS1687/prison-des-baumettes-cellules-sans-fenetre-rats-violence.html ) est criant de l'état insalutre des prisons française, mais ceci n'est pas la seule peine qu'en retire un détenu le jour de sa condamnation. On en oublie trop souvent le probleme de la re-socialisation et de la ré-insertion ( Pour ce faire une idée voici un article témoinage :  http://www.rue89.com/2013/02/08/du-minitel-lipad-sans-transition-le-choc-techno-des-ex-taulards-239002  ).

En france, nous ne nous occupons que très peu des marginaux et par marginaux je sous entends ceux qui n'intéresse pas les patrons ou les politiciens c'est-a-dire les délinquants, les sans abris, les drogués, les alcoolique etc.

 

Que tirez de cela.

 

Pourquoi classer les délinquants parmi les marginaux ?


Tous les jeunes garçons et les jeunes filles ont déja entendu bien avant qu'il soit en age, des histoires sur des criminels, violeurs ou voleurs. La logique actuelle veut que ces individus accusés de telle ou telle délit soit chatiés autant qu'il est nécessaire pour qu'il ne recommence plus, avec pour principale conséquentes, des sanctions attribuées par la justice qui n'ont que très peu de signications pour le commun des individus.


Quelle serait votre réaction si l'on vous disais que vous etes condamné à 5 ans ? 10 ans ? 20 ans ? la perpétuité ? Vous qui avez déja du mal à vous projeter dans 6 mois. Chacun pourra pleurer, rester fier, crier sa colère, il n'en reste pas moins que ces individus vont rentrer dans un autre type de société basé sous la soumission, la privation, et l'aliénation.

 

N'a-t-on pas ici une des sources de l'imperfection des condamnations à la prison ?

 

Prenon un exemple : Si un enfant voit un truc chaud et qu'il le touche, il se brule et ressent une énorme douleur pendant quelques jours. Il ne recommencera pu parce qu'il sait ce qu'il l'attends, alors que dans le systeme actuel, on te dit, tu es prit dans un traffic de drogue, tu risque 5 ans de prison et 3750 euros d'amendes. Que cela signifie-t-il pour l'individus qui se fait 5000 euros par mois grace a la drogue.

Faire un tour par la case prison ce n'est pas, juste, ne pas sortir d'un endroit délimilité par des barreaux et des grillages. Cela induit également de vivre dans une cellule avec un individus que l'on a pas choisit, ici pour des faits peut-etre opposé. Par exemple, vous etes le banquier qui a détournés des fonds et avec vous se trouve un braqueur de banque.

Aller 20 ans en prison ou recevoir 50 000 euros d'amende perds en signification dans un monde ou tout va toujours plus vite et ou parfois l'argent et gagné facilement, trop facilement. Qui peut dire que 50 000 euros c'est énorme quand il voit que les traders touches plusieurs millions, ou que les banques accordent des banques à n'importe qui en demandant de ce faire rembourser sur plusieurs années. L'argent et le temps perdent leur unité, car on peut gagner facilement et rapidement de l'argent et en perdre tout aussi rapidement et facilement, comme pourra en témoigner Bernard Madoff ou Jerome Kerviel.

A quoi est soumis l'individus en prison ?

On remarque d'abord un rapport de soumission. Soumission face au gardien, au caid ou à tous ceux qui ont plus d'influence ou de pouvoir dans la prison. Est-on toujours dans un système d'égalité ou un individu est un autre ont les memes droit ? Le prisonnier lambda subira dont une atteinte à son intégrité psychologiquement et ceci sans que personne ne cherche à y redire.

Ensuite, il y a bien sur l'idée de privation. Privation de son intimité ( Qui a envie de prendre sa douche en commun ou de faire ses besoins sous l'oeil des autres ? ), privation de sa liberté de circuler, mais également l'individu ne peut pu répondre à ses besoins et voit ses désirs augmenter. N'a-t-on pas ici un chatiment encore plus dur que l'idée de prison. Ne pousse-t-on pas l'homme à avoir un caractère déviant ? N'en fait-on tout simplement pas un animal ?
Je vois ici le pire chatiments possible, la déshumanisation et la perte de son identité propre, celle acquérit au fil des années et des expériences. La prison construit un autre homme.

Enfin l'on pourra y voir aussi, l'idée d'aliénation. Par la je sous entends qu'on empeche l'individus de se développer, se grandir, de s'ouvrir. Cadrer les journée en appliquant des heures pour manger, se netoyer, dormir, rester dans sa cellule, pouvoir marcher ou bouger dehors et d'autres pour ne rien faire c'est priver l'homme de son imagination, de sa soif de découverte, de son optimisme, de son envie de se surpasser et de faire toujours mieux. Bref la prison casse l'homme et le réduit à une simple enveloppe corporel pour qui tout est décidé, du moment ou il doit se lever au moment ou il doit aller se coucher.

 

De plus, vivre avec l'autre en communauté, c'est accepter ces avantages comme ces défauts, et à ce que je pense, un prisonnier n'est pas entouré d'homme cultivé cachant leur rot derriere un toussotement. Ou peut-on voir, autant les défauts d'autrui, qu'en n'étant 24h sur 24 avec ?

 

Qui pense qu'une prison est un endroit propre ?

Qui pense qu'une prison est un endroit agréable ?

Qui pense qu'une prison est un endroit beau ?


Pour n'etres jamais allé dans une prison, je ne peux évidemment répondre pertinnement à ces questions. Mais peut-on laisser un individu 5- 10 - 20 ans ou plus hors d'une société en constante évolution, en pensant qu'il pourra revenir progressivement et instinctivement dans la vie active ?

Je vais aborder trois points:

- La réintertion des individus.

- Une façon différentes de voir la sanction pour un état.

- Des pistes pour montrer que la prison n'est pas une obligation.

 

1 ) Comment réinserer les individus.

Comment voulez-vous qu'un individu qui a passé 5-10 ans en prison puissent revenir et travailler. Prenons l'exemple d'un homme qui a intégré une prison dans les années 2005 et qui est sortit en 2013. En entrant il avait un téléphone portable en noir et blanc, il en ressort et voit des smarphones, mais pire il n'a pas connu la crise de 2007 et l'effondrement de l'emploi ouvrier et employé. Que va-t-il bien pouvoir trouver comme travail alors qu'il va entrer en concurrence avec des jeunes, des vieux, des diplomés, tous sans cassier judiciaire?

Qu'est-ce qui nous permet de dire qu'il sera choisit et qu'il pourra se réinserer ? RIEN NI PERSONNE.

 

Tout ceci sans oublier la vie sociale et affective qui a été mis entre parenthèse durant tant d'année. Peut-on avoir les meme contact avec les autres sans les avoir vu pendant 10 ans ? Peut-on etre accepté a nouveau par sa famille comme nous avons évolué si longtemps loin d'eux ? Toutes ses questions dépendent évidemment de chaque individu mais n'en fait-on pas des personnes agés vivant seul avant l'age ?

 

 2 ) Une façon différente de voir les sanctions pour un état.

 

On prendra en compte deux points de vue:

- Celui qui dit que l'homme nait naturellement bon et qu'il devient mauvais par la suite.

- Ou le point de vue qui dit qu'un homme nait bon ou mauvais et qu'on ne peut pas changer.

 

Quoiqu'il en soit quand on nait on ne choisit pas ces parents, pas sa vie alors pourquoi choisir systématiquement de condamné les individus a des peine de prison. Peut-on savoir qu'a la naissance cet enfant sera mauvais et donc le condamné d'avance. On voit ça actuellement grace à la politique de la police dans les cités à faire du controle d'identité et de faciès.

La question est doit-on envoyé systématiquement quelqu'un en prison ?

Celui qui a volé, détourner de l'argent, été pris en excès de vitesse, s'est drogué. Selon moi, seule quelques catégories devraient etre envoyé en prison parce qu'elles sont réellement dangereuses pour la société mais avec obligation pour l'état de les rééduquer et de les préparer à une possible sortie, soit en les soignants, soit en les orientants vers différentes voix, notamments les criminels, les violeurs ou les personnes violentes ou manipulatrices.

Le reste devrait faire des travaux d'intéret général ou etre suspendu d'un domaine précis

 Quelques exemples:

- Ceux qui ont des dépendances avec l'argent devrait etre interdit de jeu en ligne ou au casinos et avoir une carte de crédit qui reconnait les transactions et bloque celle qui pourrait etre jugé touché à sa dépendance. ( Mis en place mais pas systématiquement pour tout le monde).

- Ceux pris en excès de vitesse, alcoolisé au volant, ou dangereux sur la route devrait connaitre des restrictions de transport avec comme prix de payer, de prendre systematiquement le bus, le train ou les taxis pour ce déplacer.

etc

On devrait donc réfléchir à de nouvelles forme de condamnation, ainsi qu'a d'autres formes de controle de ces condamnations.

 

3 ) Des pistes pour montrer que la prison n'est pas une obligation.

 


N'a ton pas ici un moyen de valoriser certaines formations ( Comme les psychologue, sociologue ou tout autres formation qui aide l'homme à se comprendre et à mieux se trouver une voie) ou bien certains métier. Ne peut-on pas orienter ces individus perdu vers des métiers valorisant ou à valoriser et ainsi  leur donner une nouvelle vision de la vie et un nouveau départ  ( Notamment les métiers anciens, de précisions, ou ceux pas rémunérateur mais qui permettrait aux individus de pouvoir vivre, comme tailleurs de pierre, ou agriculteurs.)

Ne doit on pas assurer la population que l'argent des impots sert bien à assurer sa tranquillité et sa sécurité, sans avoir a leur dire que cela forme des etres dépourvu d'humanité. Ne devrait-on pas se servir de ces impots pour assurer un bien commun et augmenter l'utilité de tous. Un cambrioleur est juste une personne qui cherche quelques choses, pourquoi ne pas l'aider à trouver, ce que je veux dire par la c'est que si l'on a été faire un délit c'est qu'on était pas occupé à faire autres choses, par la j'entends une vie sociale, sportive ou professionnel.

=> On a ici une limite de la crise, c'est à dire moins d'opportunité et moins de travail donc des individus sans autres occupations que la télé ou la réfléction sur comment gagner de l'argent, voir la recherche de conflit inutiles parce que justement c'est la seule choses qui peut égayer notre journée.

 

Pour conclure,

 

Chaque individu quelle qui soit, ne devrait jamais avoir pour destiné de finir en prison. La prison pour un individus renvoie à l'échec d'un Etat à pourvoir l'égalité des chances, la meilleurs répartition des richesses, et une éducations prioritaire de ceux qui en aurait le plus besoin. Par la prison, on détruit l'humain et la bonté qu'il a en lui, pour en sortir des etres aux caractères déviant par rapport a la norme.

Certains individus ont pour objectifs d'en assourvir d'autres au lieu de les aider. On a donc ici une illustation du fait que l'homme ne nait pas égaux, et que certains de ces caractères le pousse à asservir l'autres pour le controler car c'est comme ça qu'il peut en retirer une utilité forte.

 

Pour en connaitre l'origine ( du caractère dominateurs par exemple), je ne pourrais vous etres utile.

 

 

 

 

 

 

 

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22 janvier 2013

Douze ans de mariage gay en Hollande: un bilan terrifiant

Voici l'extrait d'un article paru dans rue 89, dont j'ai selectionné certaines parties, concernant l'interwiev d'un professeur de français en Hollande.

 

Voilà presque douze ans que deux hommes ou deux femmes peuvent aussi se marier aux Pays-Bas. L’ouverture du mariage était une première mondiale, les pays scandinaves ayant jusqu’alors inventé de nouvelles formes de contrats pour les couples du même sexe. C’était un lundi matin, au lycée où j’enseigne le français, au lendemain de l’énorme cortège des opposants à l’égalité entre hétéros et homos (il faut bien appeler ça par son nom) avec des slogans haineux.

La télévision néerlandaise avait ouvert le journal du dimanche soir sur des images spectaculaires et un commentaire ahuri de la correspondante à Paris, du style « des centaines de milliers de Français refusent l’égalité pour les homos ».

« Pourquoi les gens étaient dans la rue ? »

Ma classe de cinquième (première classe de collège ici) est un peu nerveuse et je leur demande ce qui ne va pas.

« Monsieur, pourquoi les gens étaient dans la rue en France pour refuser le mariage des gays ? »

Je leur explique donc que le gouvernement de gauche, formé après l’élection présidentielle de l’année dernière (tout le pays l’avait suivie et commentée), a lancé un débat sur l’ouverture du mariage aux couples du même sexe. J’essaye d’en profiter pour parler de l’opposition droite/gauche et du nom des différents partis. Mais je sens la classe fébrile.

« Mais monsieur, on ne comprend pas pourquoi ils sont contre. »

J’essaye de leur expliquer le poids de l’Eglise, les problèmes de l’opposition à se rassembler, tout ça. Ça n’arrange rien, ça bavarde, je sens que ça va finir par des punitions.

Finalement une fille un peu plus verbale que les autres se décide...

« Non mais monsieur, on ne comprend pas pourquoi ça les dérange que d’autres personnes se marient. Cela ne les concerne pas. On ne va pas les obliger à se marier avec un autre homme s’ils sont des hommes, ou avec une autre femme s’ils sont des femmes. »

Difficultés culturelles

Et c’est vrai, j’avais du mal à trouver un seul bon argument en faveur des manifestants de la veille. Je pouvais essayer de les balader avec un truc sur l’Eglise ou l’UMP au bord de l’explosion, sous menace du FN, mais pas de vraie raison crédible à leurs yeux. Je ne sais pas si c’est pareil dans les collèges et les lycées français, mais ma collègue de français, dans la salle d’à côté, a eu le même genre de questions, et elle a eu le même embarras à expliquer pourquoi.

En 2013, ça fait douze ans que les couples de même sexe peuvent se marier. On est arrivés là grâce à un débat, à la fin des années 80, sur la question de l’égalité. Ce débat a débouché sur un changement constitutionnel en 1991 (l’article premier de la Constitution stipule que tout le monde doit être traité de façon égale), et sur la mise en place d’un partenariat civil ouvert à tous les couples en 1997.

Ce partenariat a été amélioré à tel point que ses conséquences juridiques étaient les mêmes que le mariage, ce qui a fait que le mariage a finalement été ouvert à tous les couples au début du XXIe siècle.

Beaucoup de catholiques, pour la plupart hétérosexuels, ont quitté l’Eglise à cause de son attitude intransigeante et de sa haine des homos. Les gays et les lesbiennes ne sont pas nombreux, mais entre leurs parents, leurs frères et sœurs, leurs amis et leurs collègues, ça commence à faire du monde.

Pas mal d’Eglises protestantes ont beaucoup bougé sur la question. Les plus progressistes condamnent toute discrimination comme étant contraire à l’esprit du message de Jésus. Les autres ont beaucoup de mal à justifier le traitement différent entre les couples de même sexe et les autres, de la même façon qu’elles ont du mal à justifier la position inférieure des femmes dans la société, la famille et la communauté.

Les partis politiques chrétiens-démocrates ont nommé des ministres ouvertement gays et lesbiennes. Le CDA a même nommé un homo laid, obèse et incompétent comme ministre du Budget dans l’avant-dernier gouvernement, preuve s’il en est que même les homos peuvent accéder à un poste où ils s’illustrent par leur nullité et leur laideur, comme les hétérosexuels.

Quand il a révélé s’être finalement marié avec son partenaire, les Hollandais ont applaudi poliment, se demandant discrètement quel homme voudrait bien d’un mari aussi moche. L’attrait du pouvoir peut-être ? Ou si ça se trouve il est vraiment gentil. Ou très doué au lit. Personne n’a de réponse à ce jour.

Du côté du judaïsme (micro-communauté essentiellement amstellodamoise) et de l’islam (même proportion qu’en France), rien.

Enfin si, j’exagère. Des imams homophobes ont été désavoués par leurs ouailles et pour certains renvoyés dans leur pays d’origine. Pour le reste, les musulmans bien en vue rappellent que faire preuve d’intolérance est inacceptable, et les mosquées organisent des cercles de discussion pour aider les vieux qui ne parlent pas bien néerlandais à dépasser leur homophobie culturelle. Et même, pour certains, à renouer le contact avec leurs enfants homos.

Les protestants ultra-fondamentalistes (rassemblés politiquement derrière le SGP : femmes interdites d’élection, la Bible est leur programme, 2% de l’électorat), quant à eux, s’enfoncent dans la talibanisation. Leurs dérives sectaires sont l’objet des moqueries dans la presse et sur Internet, et la mixité homme-femme leur a été imposée par les tribunaux. Les journaux protestants analysent régulièrement avec les spécialistes l’isolement du SGP et de leurs ouailles du reste de la société, et s’inquiètent du fait que pour la première fois les Néerlandais ne les trouvent plus mignons ou folkloriques, mais effrayants.

Les « cas de conscience » au chômage

Dans l’enseignement religieux sous contrat, un trou dans la loi permettait aux écoles ultra-religieuses de licencier des enseignants qui sortaient du placard. Finalement, le seul cas qui a jamais eu lieu a été jugé illégal (surtout parce que l’école n’a pas suivi les protocoles en vigueur, en particulier un premier entretien avant licenciement). Et l’opinion est désormais quasiment unanimement défavorable à cette possibilité.

En tant que prof dans l’enseignement public, je n’ai jamais caché que j’étais marié avec un homme. Les seules questions qui torturent mes élèves sont pourquoi je n’ai pas encore adopté d’enfants (« Vos enfants auraient vraiment des bonnes notes en français ! ») et de savoir si mon mari est beau.

Après d’âpres discussions, les chrétiens fondamentalistes jouant aux victimes, le gouvernement actuel (une alliance gauche-droite où ne figure aucun parti religieux) a décidé qu’après dix ans, ça suffisait les bêtises et que les fonctionnaires allaient devoir accepter de marier tous les couples, sinon le CWI (le Pôle emploi local) serait l’endroit idéal où aller raconter leurs malheurs de chrétiens opprimés. Et sans indemnités.

L’extrême droite pro-mariage gay

Enfin, détail piquant, l’extrême droite néerlandaise a largement instrumentalisé l’égalité hommes-femmes et homos-hétéros pour mieux ostraciser les musulmans.

Une extrême droite homophobe ? Cela n’existe plus. Son public-cible ne comprendrait pas pourquoi on discriminerait son voisin, son enfant, son frère, sa sœur ou soi-même.

Perspective terrifiante, pour les homophobes

Donc oui, les intégristes de tout poil qui se sont rassemblés par centaines de milliers à Paris ont des soucis à se faire. On voit bien, avec une décennie de recul, qu’aux Pays-Bas l’ouverture du mariage a eu des conséquences tangibles :

  • plus grande tolérance envers les homos ;
  • stigmatisation des violences homophobes, verbales comme physiques ;
  • énorme perte de crédibilité pour l’Eglise catholique ;
  • pressions pro-femmes et pro-homos au sein des Eglises protestantes ;
  • isolement/talibanisation de l’extrême droite chrétienne, coupée de l’extrême droite politique et de l’immense majorité des habitants...

Perspective terrifiante, donc.

Pour les homophobes.


L'article est au complet ici: http://www.rue89.com/2013/01/21/douze-ans-de-mariage-gay-en-hollande-un-bilan-terrifiant-238818

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